Enfin, on retrouve notre Canardo Le coté ''Roman existentiel a la Camus. Des personnages désœuvrés qui n'ont plus rien a perdre qui sont prêt a tout. Vivre intensément ou mourir Des personnages imbibés de néant, sans aucun scrupule (Sauf notre sympathique Canardo) Cela ne me surprendrait pas que SOKAL se soit UN PEU inspiré du ''MALENTENDU'' de Camus. Tous les personnages, malgré tout restent attachants. Sans être un chef ,d'œuvre cet album m'a fait passer d'agréable moment, et on voudrait que ca continue ainsi