Le 18/03/2019 à 14:22:19
Dialogue à la Swarte, histoire à la Lang (pas Jack, non : Fritz, cf Le tombeau hindou), couleurs à la Matisse (pas Lionel, l'inoubliable milieu de l'AJ Auxerre, non : Henri), grosse poilade quand Lambique se coince la queue dans la porte (p.31). Hé ben... Qu’avait donc bien pu ingurgiter le Rembrandt de la BD, avant de se mettre à sa table à dessin ? Surement pas que du Stoemp aux poireaux…De là à se demander si un facétieux assistant n’aurait pas interchangé son buvard pour notre plus grand plaisir, il n’y a qu’ un voyage lysergique en 3 lettres au pays des mille et une nuits. Bref, de quoi en faire toute une histoire et me dire que j’aurais dû prendre moi aussi, quelque chose avant d’écrire cet avis, pas aussi enchanté que la princesse du même nom. Désolé. Pourtant, mon chat vient de se transformer en Tigre du Bengale, mais mon fauteuil va lui régler son compte plus vite que prévu, il n'est pas commode ces temps-ci, il en a dans le buffet. Enfin, je dis ça pour meubler, pas question que je me mette à table, j’ai la mémoire courte dans mon bocal. La princesse enchantée ? En vente libre dans tous les bons vide-greniersBDGest 2014 - Tous droits réservés