Peyo signe ici une aventure bien plus originale que les taxis rouges. Will, une nouvelle fois, est aux décors. Tout l’intérêt de cette histoire vient du robot Madame Adolphine, création de l’inventeur Vladlavodka. Le seul problème, c'est que la mécanique du robot va se détraquer.
Comme Benoît (Superman enfantin possédant quelques failles), Peyo crée un personnage à contre-emploi. Madame Adolphine est une vieille dame qui pourrait sembler bien sous tous rapports. Mais, en fait, c'est une redoutable chef de truands. Adolphine a cependant un point faible : elle aime bien le jeune Benoit. Toujours autant de fraîcheur et d’imagination dans un des meilleurs tomes de la série.