Le 05/05/2013 à 03:30:15
Version en couleurs (correctes sans être inspirées). La musculature de Belloy est moins Schwarzeneggeresque que dans les épisodes précurseurs, non édités en album. Le talent de Uderzo crève les pages, même s'il y a abus de plans : le dessinateur varie les points de vue, au détriment de la fluidité de la narration visuelle. Les scènes d'action sont inspirées des Comics de super-héros. Pour une BD des années 50 avec un dessinateur dans la vingtaine, un bel effort. Le scénario de Charlier est une succession de gags visuels sur une ou deux pages, avec un mince fil conducteur. Jean-Michel a depuis fait beaucoup mieux que ce scénario tarte à la crème. Les afficionados apprécieront, les jeunes peuvent sauter directement à Astérix ou Oumpah-Pah.BDGest 2014 - Tous droits réservés