Résumé: La Mort a-t-elle un sexe ? féminin, masculin ? des sentiments ? de la pitié ? Et surtout, surtout, la Mort aime-t-elle le football, les oiseaux, le printemps, la plage ? Croit-elle en l'avenir ? en l'amour ? A-t-elle des états d'âme ? François Boucq nous propose une série de petites histoires, mettant toutes en scène un personnage tabou : la Mort. Mais à sa façon, c'est-à-dire avec humour, légèreté et talent. Accompagnée de Lao-Tseu, un petit cochon muet, philosophe, fidèle et bavant en permanence, cette Mort-là ne nous fait pas peur, au contraire. Elle nous amuse, nous attendrit même parfois et nous surprend toujours. Gaffeuse, incongrue, égarée dans un monde qu'elle maîtrise mal, elle déborde d'énergie... et de vie ! On a presque envie de la mieux connaître pour la chouchouter un peu : c'est tout dire !
Je reste fan des dessins de Bouqc.
Comme à son habitude, il nous livre des petites histoires pleines d’une nonchalance délirante super plaisante à suivre. Certaines ont cyniques ou acerbes, d’autres absurdes, certaines sont légères ou de grosses blagues… Il y a un peu de tout et c’est donc bien varié.
Bien sûr, rien de profond, pas de véritable dénonciation de quoi que ce soit, nulle philosophie particulière…
Juste un gentil délire bien sympa à suivre.