Difficile de parler d'un tel album qui continue la narration de la montée en puissance d'Attila. Nous en sommes rendus à son installation en Pannonie et à l'assassinat de son frère Bléda.
Néanmoins faire d'Attila un barbare seulement satisfait par les fellations que peut lui prodiguer Lupa me paraît des plus débiles et des plus réducteurs.
Désolé pour Mitton que je considère comme un grand mais comme le disait Dumas père :"on peut violer l'Histoire, à condition de lui faire de beau enfants". Ce n'est pas le cas ici.