Info édition : Page de garde en couleur. Avec jaquette illustrée.
Résumé: « Nana me fait entièrement confiance. Mais elle me sous-estime aussi un peu en tant qu’homme. »
Les yeux bandés et les mains ligotées, Nana prend la pose sous l’objectif de Kaoru. Il s’agit là d’un « moment de détente » comme les autres, Kaoru joue son rôle de maître à la perfection… Mais soudain, la jeune femme le supplie d’arrêter ! Plutôt que de l’écouter et de mettre un terme à leur petit jeu, le jeune homme s’entête : « Ce n’est pas terminé car je sais que tu est une vraie coquine, Nana ! »
Perplexe…
L’histoire se dessinait tranquille, initiation au bondage soft, une trame simple… Et puis d’un coup, on précipite les choses avec une nouvelle venue qui fout sa zone (ouais, si ça me plaît pas, vous arrêtez) sans qu’on comprenne de trop ce qu’elle a à dire dans l’histoire…
La trame prend donc un tour pour le moins inattendu et moyennement plaisant puisque pour satisfaire la nouvelle venue, Kaoru délaisse Nana…
Par ailleurs, les dessins s’avèrent moins précis – plusieurs fois, j’ai laissé tomber l’idée de comprendre ce qu’ils représentaient pour passer à la page suivante.
D’autant que bon, c’est long… Deux ou trois heures qui passent sans action représentées sur 40 pages quasi identiques… On finit par se lasser un peu.
L’idée de base était sympa mais s’enlise déjà au troisième tome.