Résumé: <p>Le retour de la grande saga médiévale de Michel Pierret.</p><p>Hugues de Crozenc poursuit toujours son fils Sigwald. Mais retardé par les intempéries, il se voit contraint de se réfugier chez une amène hôtesse qui lui apprend que la seule route de communication des environs est bloquée par les armées du roi assiégeant le château de Noirlac. Hugues sent un frisson le parcourir à lidée que son fils ait récolté quelque ennui dans ce conflit qui ne le concerne pourtant pas. Il nest malheureusement pas très loin de la vérité </p><p>Toujours menée par Michel Pierret, lefficacité classique dune des séries les plus réputées du paysage de la BD historique.</p>
Hughes à la poursuite de son fils et de Al Mansour trouve Sigwald prisonnier de soldats du Roi qui assiègent un château rebelle. Il devra utiliser sa science des explosifs appris chez les arabes pour rentrer dans les bonnes grâces des soldats et sauver son fils.
Les dessins de Pierret sont très expressifs et restituent bien l'époque, ce qui procure le plaisir de lire cette histoire d'aventures bine racontée mais qui n'en finit pas; on voudrait bien que Hughes trouve enfin la paix.
En attendant un nouveau rebondissement de dernière minute appelle à attendre le prochain tome !
killucru
Le 03/03/2009 à 16:10:27
Pour ma part, c'est toujours un plaisir de retrouver Hughes, Sigwald et même Al Mansour d'album en album puisque étant un fan de la première heure et du premier tome, je suis un "conquis d'avance".
Cependant, "La main du prophète" est loin d'être le meilleur album de la série. L'histoire, si elle est loin d'être inintéressante, est assez prévisible. Sigwald, qui tenait le rôle principal dans le dernier épisode (ce qui pouvait ressembler à une passation de pouvoir) est ici relégué en seconde zone... Peut-être pas dans le prochain... A voir. Le siège du château de Noirlac, quant à lui, est bien rendu mais n'est malgré tout pas hyper passionnant !
Malgré ce scénario sans réel suspens mais non dénué de quelques traits d'humour, ce tome 21 se laisse lire avec plaisir, certes, mais... seulement peut-être pour les inconditionnels de la série (dont je fais partie !).