Résumé: Dans Le Parfum disparu, la détective privée Édith Hardy partait à la recherche d'Antoine Dubreuil, jeune chimiste volatilisé avec la formule d'un nouveau médicament des établissements Lecauchois. Si l'excipient était finalement retrouvé, l'espionnage industriel faisant alors rage en matière d'antibiotiques laissait affleurer d'inquiétantes convoitises. La Trace pâle va entraîner Édith dans un repaire d'agents du Kominform, tandis que son assistant Victor Maziero sillonne Paris pour des recherches généalogiques. De la "zone" sur les anciens fortifs à un couvent du XII arrondissement, d'un manoir des Ardennes aux bals de la rue de Lappe, un épisode où se croisent les peines de cœur d'une jeune ouvrière et les calculs de grandes puissance ennemies. Annie Goetzinger et Pierre Christin, auteurs de classiques de la BD comme La Demoiselle de la Légion d'honneur, La Voyageuse de la Petite Ceinture ou La Sultane blanche, revisitent une époque et un Paris chers à leur cœur.
Edith enquête sur la disparition du chimiste Antoine Dubreuil kidnappé par les Russes. Edith Hardy infiltre les espions russes. Le scénario prend du relief et confronte l’héroïne aux milieu communistes très puissants après guerre. Le dessin rend Edith de plus en plus sexy.
voltaire
Le 29/03/2008 à 16:35:56
Suite des plus laborieuses de l’album précédent. Edith Hardy est toujours à la recherche du chimiste qui, sympathisant communiste, tient à offrir au monde les bienfaits de sa découverte pharmaceutique. Du coup à la demande indirecte de la DST, elle va essayer d’infiltrer la fameuse baronne communiste rencontrée au premier album et qui a pour particularité de s’abreuver uniquement –ou presque- au champagne.
Ce qui faisait le charme du premier album est que l’action se déroulait sur Paris exclusivement ou presque. Ce n’est plus le cas ici et l’intrigue n’est pas suffisamment solide pour combler ce vide.