Bon, il faut reconnaître que Talon n’a jamais été l’exemple du réalisme dans les histoires.
On part donc dans un joyeux délire de sables qui rendent fou quand ils sont combinés, de militaires totalement débiles, de diverses traversées d’océan les doigts dans le nez…
Mais on s’en fiche : c’est Talon, c’est totalement assumé, c’est drôle, c’est bien écrit et y’a pas de temps mort.
Très plaisant.