Résumé: « Rome inspire tout sauf l'indifférence : sa lumière d'abord, mais aussi ses couleurs si particulières ont agi sur moi avec une sorte d'envoûtement progressif. » La ville façon Miles Hyman a le visage d'une femme toute de mystère, insaisissable. On la quitte des yeux un instant que déjà elle n'est plus là. Ainsi est Rome. Ce n'est pas tant la Rome monumentale que l'on retrouve dans ses pages que celle de ses habitants : « Je me rends compte que ce livre Rome aurait pu aussi bien s'appeller Romains. Si j'ai voulu mettre à ce point en avant l'élément humain de la ville dans mes dessins, c'est que le spectacle saissisant de la vie éphemère côtoyant l'éternel a été pour moi la clé de la ville. »