Résumé: Dans les si nombreux mondes de Gabriella, le dessinateur semble être le temps ; il laisse des traces, dépose une poussière de passé, met le lecteur dans la condition nostalgique de sentir que "cela est arrivé". L'absence rend manifeste ce que l'on ne peut exprimer, une intensité émotive qui est révélée par les traces de vie qui sont restées sur ce que nous lisons et que nous lisons sur ce qui est resté.