Info édition : Carnet de 25 dessins en couleur, tiré à 150 exemplaires numérotés et signés par les auteurs. Pas d'indication de la date de DL.
Résumé: « Quand j'étais enfant, "Le Pinceau d'Or" était l'enseigne d'une droguerie qui se trouvait à deux pas de chez moi. On y trouvait bien évidemment des papiers peints, de la peinture, des produits nettoyants mais aussi des carnets de dessin... La dame qui tenait le magasin était une Polonaise assez désagréable, comme c’était souvent le cas lorsque les commerçants s’adressaient aux enfants à cette époque. Elle avait toujours un foulard sur la tête et une cigarette au bec. Je devais donc affronter ce "dragon" afin d’obtenir un de ces précieux carnets qu’elle vendait. En effet, à la maison, on ne me refusait jamais un carnet de dessin. Je les remplissais sur la table de la salle à manger alors que mes frères jouaient dehors. « Tant qu'il dessine, il est sage », disaient mes parents, et cela n'a pas changé. »