- Informations sur l'album
- 4 reasons of falling in love with him
- 4 reasons of falling in love with him
- 1.83/5 (6 votes)
- Asie
- Manga - Shôjo
- 78020
- Yokoyama, Mayumi
- Yokoyama, Mayumi
- <N&B>
- 08/2008
- non coté
- Panini Comics
- Panini Manga
- Autre format
- 978-2-8094-0369-5
- 196
- 21/09/2008 14:12:36 (maj 05/10/2008 09:45:54)
- Info édition : Avec Jaquette
- La chronique
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Par M. Natali
A près deux ans de séparation, Eri retrouve Tomo. Troublée, elle succombe assez vite quand un ami lui révèle que son ex l’aime encore. Pourtant il semble toujours distant lorsqu’elle s’offre à lui.
Ayant blessé un camarade par inadvertance, Niina s’investit totalement pour l’aider comme « bras droit » malgré ses refus réitérés. Elle comprend vite que Jô utilise son plâtre comme prétexte pour échapper à un groupe qui lui cherche des noises.
Séparée depuis peu, Risa essaie part tous les moyens de récupérer les photos compromettantes que son ancien copain garde pour la faire chanter.
Chika n’évite un rapport forcé dans un hôtel minable que grâce à l’intervention de Shibuya, un garçon de sa classe qui est le fils du gérant. En compensation, elle accepte de redorer le blason de l’établissement en faisant de sa publicité au lycée.
4 reasons of falling in love with him est un recueil de quatre nouvelles plus ou moins longues dans lesquelles Mayumi Yokoyama (Galism) met en scène des romances lycéennes. Il s’agit d’une œuvre de jeunesse qui pèche par une trop grande légèreté – l’un des inconvénients possibles du récit court – tout en proposant des situations plausibles. Premières expériences amoureuses, premières relations sexuelles, atermoiements, retour de flamme, déchirure de la séparation et difficultés à s’en remettre ou, simplement, à empêcher l’autre de déblatérer sur son compte, rien n’est laissé de côté. Le ton frais et plein d’humour fait de ce titre une mini-comédie, voire un soap léger, aux enjeux finalement minimes et aux dénouements sans surprise. Mais l’ensemble est distrayant. Quant au dessin, il use des trames et des stéréotypes du shojo, non sans apporter une touche propre à l’auteur, évitant ainsi un trop grand classicisme du trait.
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